Organisé chaque 17 octobre, ce jour rassemble plus de 70 associations et syndicats autour d'ATD Quart Monde
L’enquête de la DEEP confirme la teneur des alertes sociales déposées par la FSU-SNUipp
La FSU-SNUipp fait le point suite aux annonces ministérielles bien en deçà des exigences de la profession
Tout savoir sur comment changer de départements à la rentrée 2025
L'apprentissage de la langue : du temps et un enseignement actif et réflexif
Itv De Catherine Hueber, responsable du pôle pédagogie et formation à l'OCCE
Projets de programmes en français et math pour les C 1 et C2 : de nombreuses inquiétudes
Le gouvernement a présenté son projet de loi de finances pour 2024
Le président doit respecter la démocratie sociale et le rejet très majoritaire de la réforme des retraites
Un projet d’éducation à la solidarité pour les classes et une collecte de matériel scolaire pour les écoles tchadiennes
A la rentrée 2022, plus de 1,1 million d’enfants sont scolarisés dans les 6 615 écoles de l’éducation prioritaire. Quarante ans après sa création, la politique d’éducation prioritaire a toujours pour objectif de corriger l’impact des inégalités sociales et économiques sur la réussite scolaire par un renforcement de l’action pédagogique et éducative dans les écoles et établissements des territoires qui rencontrent les plus grandes difficultés sociales. En 2014, de nouveaux principes, une nouvelle cartographie et des mesures spécifiques sont mises en place : scolarisation des moins de trois ans, plus de maitres que de classes, allègement du service d’enseignement pour dégager du temps de travail en équipe en REP+. Des mesures qui allaient dans le bon sens mais qui sans moyens à la hauteur n'ont pas pu atteindre leurs objectifs. Leur détricotage depuis l'élection d'Emmanuel Macron, avec notamment la création de classes dédoublées encadrés par des enseignant·es pris sur le dispositif PDMQC, a pu décourager les équipes, d'autant qu'il s'est accompagné d'une politique éducative très injonctive.
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