Je suis formateur ou formatrice

Mis à jour le 25.09.24

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Fonctions et missions #

LES ENSEIGNANTS MAÎTRES-FORMATEURS, ENSEIGNANTES MAITRESSES-FORMATRICES (PEMF)
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Le ou la PEMF contribue à la formation initiale des professeur·es des écoles, qu'ils, elles soient des étudiant·es préparant le concours de recrutement ou des professeur·es stagiaires. Il, elle peut aussi participer à la formation continue des maître·sses du premier degré.
Il, elle intervient dans l'accueil dans sa classe d'étudiant·es lors des stages d'observation et de pratique accompagnée, l'accompagnement et le suivi de ceux et celles effectuant un stage en responsabilité, le tutorat de professeur·es stagiaires et l'élaboration et la réalisation de sessions de formation. Selon la circulaire n° 2010-104 du 13-7-2010, cette double fonction d'enseignant·e et de formateur ou formatrice fait de lui-elle « un acteur essentiel de la formation des enseignant du premier degré à la fois comme expert de la pratique de la classe et de la polyvalence du métier, et comme garant d'une articulation efficace et éprouvée entre les savoirs théoriques et la pratique professionnelle, capable d'analyser avec suffisamment de recul la diversité des situations et des démarches d'enseignement pour en percevoir les effets. » Le PEMF est titulaire du CAFIPEMF (certificat d'aptitude aux fonctions d'instituteur ou de PE maître formateur).

Les maîtres d’accueil temporaire (MAT)LES MAÎTRES ET MAITRESSES D’ACCUEIL TEMPORAIRE (MAT)
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Le, la MAT est un·e enseignant·e volontaire qui peut accueillir à titre temporaire des étudiants et des étudiantes pour des stages d’observation ou de pratique accompagnée. Il n’est pas titulaire du CAFIPEMF et est désigné par l’IA-Dasen sur proposition de l’IEN.

Pour la FSU-SNUipp, il ne doit plus être fait appel aux MAT pour exercer les missions des PEMF, en particulier le tutorat. Les MAT ne doivent avoir d’autres missions que l’accueil d’étudiantes et d'étudiants. À ce titre, le cadrage national doit être revu.

LES CONSEILLER·ES PÉDAGOGIQUES DE CIRCONSCRIPTION (CPC) #

Le ou la conseiller·e pédagogique du premier degré exerce ses missions dans trois directions : l’accompagnement pédagogique des maîtres et maitresses et des équipes d'école, la formation initiale et continue des enseignant·es et la mise en œuvre de la politique éducative.

  • Il, elle assure l'accompagnement professionnel des maître·sses et des équipes pédagogiques dans la mise en œuvre des programmes d'enseignement et des projets de classe, de cycle ou d'école.
  • Il, elle contribue à la formation, à l'accompagnement et à l'évaluation des professeur·es des écoles stagiaires et contribue à l'organisation et à la conduite d'animations pédagogiques et d’actions de formation.
  • Enfin, au sein de l’équipe de circonscription, il, elle contribue à la mise en œuvre et à l'accompagnement des évolutions de la politique éducative.

Le, la CPC est titulaire du CAFIPEMF. En principe, chaque circonscription compte un ou une conseiller·e pédagogique généraliste et bon nombre d’entre elles comptent un ou une conseiller·e pédagogique en EPS.

Voir au BO, les missions des maîtres formateurs

Les conseillers pédagogiques départementaux (CPD) #

Le conseiller pédagogique départemental exerce une mission départementale en se concentrant sur un domaine d'enseignement pour lequel il possède une qualification reconnue par une option du CAFIPEMF (EPS, éducation musicale ou artistique, langue vivante régionale ou étrangère …) Il contribue à l'analyse des besoins des équipes enseignantes, à l'inventaire des ressources locales, à la mise en relation des écoles avec différents partenaires. Il est placé sous l'autorité de l'IA-Dasen duquel il reçoit une lettre de mission.

CPC-EPS #

Depuis 2015, la nouvelle circulaire sur les missions ne stipule plus l’obligation d’avoir un CPC EPS dans chaque circonscription. La conséquence est qu’aujourd’hui de nombreuses circonscriptions ne comptent plus de CPC avec spécialité EPS. La priorité donnée aux plans de formation maths et de français empêche les CPC-EPS de mener un vrai travail d’accompagnement en EPS. Cette situation est d’autant plus problématique que les besoins n’ont jamais été aussi grands au plan sociétal (santé, sédentarité, besoin de jeux, environnement…), que la formation initiale a fortement diminué et que la formation continue a quasiment disparu.

Dans le même temps le nombre de CPD-EPS a diminué et leurs missions se sont diversifiées (sécurité, règlementation, partenariats, dispositifs divers...). Elles s’éloignent de plus en plus de leur mission initiale de formation d’enseignant.es du primaire en EPS. Le soutien ministériel à l’USEP, indispensable au développement de l’EPS et du sport scolaire, a, lui aussi, diminué.

La FSU-SNUipp revendique :
- de rendre à nouveau obligatoire un CPC EPS par circonscription
- au moins 50% de leur temps consacré à l’EPS (accompagnement des enseignant.es débutant.es en EPS, aide à la programmation annuelle de l’EPS dans les écoles, formation sur la natation, le savoir-rouler, aides à l’organisation de rencontres sportives en lien avec l’USEP, agréments des intervenants, sécurité, etc…).

LES CONSEILLER·ES PÉDAGOGIQUES DE DÉPARTEMENT (CPD) #

Voir au BO, les missions des conseillers pédagogiques

Voir le référentiel de compétences du formateur

Devenir formateur #

Les PEMF, comme les conseiller·es pédagogiques (CP) doivent être détenteur, détentrice du « certificat d'aptitude aux fonctions d'instituteur ou de PE maître formateur » (CAFIPEMF).


Les titulaires du CAFIPEMF sans option de spécialisation ont vocation à exercer en tant que conseiller·es pédagogiques de circonscription généralistes ou en tant que maîtres formateurs, maitresses formatrices. Un certificat d'aptitude spécialisé est par contre nécessaire pour les autres catégories de fonctions comportant une des spécialisations suivantes :

  • arts visuels
  • éducation physique et sportive
  • éducation musicale
  • enseignement en maternelle
  • langues et cultures régionales
  • langues vivantes étrangères
  • enseignement et numérique

Les titulaires d'un CAFIPEMF spécialisé peuvent postuler sur des postes à vocation généraliste

Le CAFIPEMF #

Nouveau CAFIPEMF : application à la rentrée 2021
Durée 1 an
Calendrier
  • inscription au cours de l’année N-1
  • formation de 5 semaines non-consécutives entre juin de l’année N-1 et  décembre de l’année N
  • première épreuve au cours de l’année N
  • deuxième épreuve au cours de l’année N, un mois au plus tard après la première épreuve
Postulat à l’inscription
  • au moins cinq années de services effectifs
  • visite-conseil de l’IEN qui donne au/à la candidat.e une attestation de cette visite à joindre au dossier d’inscription (sauf situation d’impossibilité de la visite)
Accompagnement et formation Le candidat suit une formation de cinq semaines :
  • deux à trois semaines d’observation et de pratique accompagnée auprès d’un instituteur ou professeur.e des écoles maître.sse formateur.trice ou d’un.e conseiller.e pédagogique de circonscription dans l’exercice de sa mission d’accompagnement d’étudiant.es en pré-professionnalisation, de contractuel.les alternant.es, de professeur.es titulaires ou non titulaires ;
  • deux à trois semaines de formation assurées conjointement par l’académie d’exercice du/de la candidat.e et par l’institut national supérieur du professorat et de l’éducation du ressort de ladite académie.
Type d’épreuves Épreuve 1 :
  • observation par le jury d’un temps d’enseignement assuré par le/la candidat.e
  • entretien avec le jury immédiatement consécutif à l’observation
Épreuve 2 :
  • observation en classe d’un.e professeur.e des écoles stagiaire ou titulaire par le candidat.e, en présence du jury ;
  • analyse immédiatement consécutive par le/la candidat.e avec le/la professeur.e des écoles, en présence du jury ;
  • production par le candidat d’un rapport de visite sur la séance observée ;
  • entretien du/de la candidat.e avec le jury, au cours duquel il/elle est amené.e à expliciter ses intentions mises en œuvre lors de l’analyse du point 2 et à présenter le rapport de visite
Contenus disciplinaires des épreuves Les 2/3 de l’épreuve 1 doivent être soit sur le français en école élémentaire ou sur les activités langagières en école maternelle, soit sur les mathématiques en école élémentaire ou sur la construction du nombre en école maternelle. Le tiers restant peut porter sur une discipline autre que le français et les mathématiques, à condition que cela contribue explicitement à l’apprentissage des élèves en français ou en mathématiques.
L’épreuve 2 s’appuie sur l’observation d’un temps d’enseignement en français ou en maths.
Composition du jury a) un.e IEN ;
b) un.e enseignant.e de l’INSPE
c) un.e instituteur.trice ou un.e professeur.e des écoles titulaire du CAFIPEMF 
Spécialisation Après trois années d’exercice en qualité de PEMF ou de conseiller.e pédagogique généraliste, les titulaires du CAFIPEMF peuvent se présenter à l’épreuve complémentaire facultative de spécialisation parmi :

  • Arts visuels,
  • Education physique et sportive,
  • Education musicale,
  • Enseignement en maternelle,
  • Enseignement et numérique,
  • Histoire-géographie-enseignement moral et civique,
  • Langues et cultures régionales,
  • Langues vivantes étrangères,
  • Sciences et technologie.

L’épreuve complémentaire comporte :

  • la rédaction par le/la candidat.e d’un rapport d’activités portant sur les années de service effectuées en qualité d’instituteur.trice ou de PEMF ou de conseiller.e pédagogique. Les activités recensées sont valorisées au regard de la spécialisation visée ;
  • l’observation par le jury d’une séance de formation collective assurée par le/la candidat.e s’inscrivant dans le domaine de la spécialisation visée ;
  • l’entretien du/de la candidat.e avec le jury, au cours duquel il/elle est amené.e à expliciter ses intentions mises en œuvre dans la séquence 2 et à présenter son rapport d’activités.

Le ministère a initié par arrêté en mai 2021 cette nouvelle modification du CAFIPEMF.
Resserré sur un an, il fait la part-belle aux savoirs dits « fondamentaux », français et mathématiques. Les deux épreuves, l’une en classe, l’autre en situation d’observation d’un·e PE doivent concerner ces disciplines. La possibilité de spécialisation, élargie à l’ensemble des disciplines scolaires, est renvoyée trois ans après, avec une épreuve supplémentaire optionnelle. Le mémoire est abandonné, signant ainsi un éloignement du rapport à la recherche. De fait, c’est la dimension réflexive du métier qui s’en trouve impactée, dans la droite ligne de la volonté du ministère d’imposer des « bonnes pratiques » élaborées par des « groupes d’experts » au lieu d’affirmer et défendre la professionnalité enseignante. L’animation de session collective de formation dans le cadre de l’épreuve de mise en situation est abandonnée. Seule la visite d’un-e PE stagiaire ou titulaire est possible témoignant de la volonté d’uniformisation des épreuves autour de l’acte de formation individuelle. Au cours des discussions sur les textes, le ministère a reconnu avoir comme objectif la centration de l’activité des formateurs-trices autour des fondements de la politique éducative du ministère, dont le primat sur les apprentissages fondamentaux. Si l’on ajoute à cela l’éloignement avec la recherche et l’accent mis sur l’individualisation, le métier de formateur et formatrice du premier degré risque de subir une réorientation profonde, loin de la préoccupation de l’enseignement d’une culture commune pour toutes et tous et du renforcement de la qualité professionnelle des enseignant-es de terrain, qui sont pourtant les vecteurs essentiels de la lutte contre les inégalités scolaires.

Accéder à un poste #

Les titulaires du CAFIPEMF peuvent postuler au mouvement départemental pour obtenir un poste vacant de maître formateur.Les titulaires du CAFIPEMF peuvent postuler au mouvement départemental pour obtenir un poste vacant de PEMF.


Les postes de conseiller·es pédagogiques sont, selon les départements, des « postes à avis » ou des « postes à profil ». Ils nécessitent un entretien avec un jury. En fonction des départements les postes sont ensuite attribués « au barème » après avis favorable soit « hors-barème » en fonction du choix du jury.

Rémunération #

Depuis le 1er septembre 2023, l’indemnité de fonctions pour les maîtres formateurs, maîtresses formatrices et enseignant·es du premier degré chargés du tutorat d’un PE stagiaire est de 1925 € bruts par an. Elle s’ajoute toujours à l’indemnité dite « 408 » de 834 € versée aux enseignants affectés sur un poste de PEMF. 

Le syndicat revendique pour elles et eux que l'intégralité de l'ISAE leur soit versé.

Les conseiller·es pédagogiques bénéficient d’une indemnité de fonction d’un montant annuel de 3 850 €. Elle s’ajoute à une NBI (nouvelle bonification indiciaire) de 27 points qui correspond environ à 1 500 euros par an. Les CPD EPS perçoivent quant à elles/eux également une indemnité de 4 850 €.

Pour les maîtres et maîtresses d’accueil temporaire et les PEMF, le taux de rémunération pour l'accueil en stage d'observation et de pratique accompagnée d’un étudiant ou d'une étudiante en M1 est fixé à 150€ par étudiant·e et par stage. Pour un étudiant ou une étudiante en M2, le taux de rémunération est fixé à 300€ par étudiant·e et par stage. Les stages SOPA des étudiant·es M1 ont une durée totale de 6 semaines alors qu'en M2 ces mêmes stages ont une durée totale de 12 semaines. Ils peuvent donc être scindés et les indemnités sont à répartir en fonction du nombre de PEMF ou MAT.

Pour les PEMF et les MAT, le taux de rémunération du tutorat d'un·e étudiant·e sous contrat alternant ou AED est de 800 euros/ étudiant·e. Ce montant est à répartir en fonction du nombre de tuteurs ou tutrices.

La FSU-SNUipp continue d’intervenir à tous les niveaux (CTM…) pour que les CP perçoivent toutes les indemnités dont ils et elles sont encore exclu·es : REP et REP+, ISAE, équipement…

Frais de déplacements des conseillers pédagogiques #

Selon le décret du 3 juillet 2006 et la circulaire mise à jour du 21 juillet 2015, les conseiller·es pédagogiques sont indemnisé·es de leurs frais « dès lors qu’ils sont contraints, pour l’exercice de leurs fonctions, de se déplacer hors des communes de leur résidence administrative et de leur résidence familiale. Ces frais sont pris en charge sur le budget académique. » Mais les enveloppes qui diminuent, les prises en compte kilométriques qui fondent alors que la géographie des circonscriptions ou des départements ne change pas, les paiements qui s’arrêtent début novembre et obligent à attendre février pour être remboursés... sont autant de situations anormales que vivent quotidiennement les CPC.

Dans certains départements des actions sont mises en place comme ne plus circuler pour ne plus être pénalisé·es. Ailleurs ce sont des compteurs kilométriques qui servent à montrer que les budgets sont trop contraints. La FSU-SNUipp, dans les départements, soutient les actions, intervient dans les instances paritaires et s’appuiera sur la circulaire des missions pour rappeler les engagements pris.

Dans certains départements des actions sont mises en place comme ne plus circuler pour ne plus être pénalisés. Ailleurs ce sont des compteurs kilométriques qui servent à montrer que les budgets sont trop contraints. Le syndicat, dans les départements, soutient les actions, intervient dans les instances paritaires et s’appuiera sur la circulaire des missions pour rappeler les engagements pris.

Obligations de service #

Conseiller pédagogique #

D’après la circulaire, le service des conseillers pédagogiques « s'organise dans le cadre de la durée légale annuelle du travail applicable à l'ensemble des fonctionnaires. Il se répartit principalement sur les 36 semaines de l'année scolaire.
Le texte fait référence ainsi aux 1607 heures qui constituent la durée légale du travail dans la Fonction publique.

Pour la FSU-SNUipp, les conseiller·es pédagogiques travaillent en lien constant avec les enseignant·es en classe et interviennent donc sur les mêmes périodes que les PE en classe. Il s’est opposé à toute annualisation du temps de travail faisant référence aux 1607 heures des fonctionnaires. Ici ou là, des IEN ou DASEN tentent d’imposer à des conseillers pédagogiques de travailler sur des périodes de vacances. Le syndicat soutient localement tous les personnels qui ne souhaitent pas déroger à l’organisation de leur service sur 36 semaines. La circulaire précise d’ailleurs que « l’organisation de leur service fait l’objet, de la part des IEN de circonscription ou de l’IA-Dasen selon le niveau auquel les conseiller·es pédagogiques interviennent, d’une programmation équilibrée des différentes activités dont ils sont chargés. Une attention particulière est apportée à la répartition de leur charge de travail au long de l’année scolaire. »

MAÎTRES FORMATEURS ET MAITRESSES FORMATRICES
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A compter de la rentrée 2016, « les enseignants du premier degré exerçant la fonction de maître formateur bénéficient d'un allègement d'un quart à un tiers de leur service hebdomadaire d'enseignement » « et « d'un allègement de deux heures hebdomadaires en moyenne annuelle du service défini à l'article 2 » c'est-à-dire 72 des 108 heures. Ils et elles sont en particulier exempté-es des 36 heures annuelles d’APC qu’ils/elles peuvent toutefois accomplir sur la base du volontariat et qui sont rémunérées sous forme d’heures supplémentaires.

Un tiers ou un quart de décharge ? #

Les allègements de service seront déterminés par les recteurs ou rectrices, qui prendront en compte le volume et les conditions d’exercice de leurs missions.

Au titre de la prise en compte du volume de leurs activités, la détermination de leur allègement de service tiendra compte du volume horaire de la formation initiale et continue ainsi que du nombre de maîtres formateurs et maitresses formatrices ainsi que du nombre de stagiaires que compte l’académie.

Au titre de la prise en compte des conditions d’exercice de ces activités, la détermination tient compte de leur contribution à la définition des contenus d’enseignement de la formation initiale des stagiaires, la préparation et l’animation de séquences d’enseignement dans le cadre de la formation initiale, l’élaboration des programmes et ressources pédagogiques de la formation continue, ainsi que la préparation et l’animation d’actions de formation continue.

Pour le syndicat, cette nouvelle organisation du service pose le problème de la concertation et du travail en équipe des PEMF. D’autre part, les modalités d’attribution des allègements relèvent de la décision du recteur ou de la rectrice, et cela peut générer des disparités et des inégalités entre départements. Concrètement aujourd’hui, les PEMF bénéficient toujours et seulement d’une journée de décharge hebdomadaire et d’une demi-journée toutes les quatre semaines.
La FSU-SNUipp demande donc une décharge de service d’au moins 1/3 pour tous les maîtres formateurs et maitresses formatrices afin de leur permettre d’assurer l’intégralité de leurs missions et de garantir une harmonisation académique.

Des publications dédiées #

La FSU-SNUipp édite régulièrement des brochures à destination des formateurs et formatrices. Elle sont à retrouver dans cette rubrique.

PEMF

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